Cependant, en raison précisément des théorms de Goedel, une «théorie de tout» ne peut être qu`une théorie globale structurée pour tenir compte de toutes les affirmations vraies concernant son univers, même les non-decidables. En particulier, ce n`est pas une sorte de moteur magique capable de générer de façon déductive toutes les affirmations vraies d`un ensemble d`axiomes finis; au contraire, il est tel que les vérités non décidéables ne sont pas exclues et peuvent être systématiquement accueillies à mesure qu`elles émergent. Il s`agit d`un critère explicite du CTMU, et sa structure théorique a été définie en conséquence. De là, qui se déplace à l`ajout d`une notion de temps, qu`il semble croire peut être fait en utilisant rien, mais la théorie définie. Malheureusement, cela n`a aucun sens du tout: il veut en quelque sorte dire que les ensembles ont des propriétés de temps, sans modifier les ensembles, la modélisation de la propriété de temps, ou en fait rien du tout-une fois de plus, il jette juste autour de beaucoup de terminologie de manière insignifiante: chaque objet dans l`espace-temps inclut l`intégralité de l`espace-temps comme une syntaxe de transition d`État selon laquelle son prochain état est créé. Cela garantit la cohérence mutuelle des États et l`unité globale de l`entité dynamique l`univers réel. Et parce que la seule interprétation réelle de l`entité Set-théorétique “l`ensemble de tous les ensembles” est l`univers réel entier, les paradoxes fondateurs associés sont résolus en nature (en attribuant la structure mathématique comme celle de l`univers à la pure, version théorique non interprétée de l`ensemble de tous les ensembles). De façon concise, la résolution du paradoxe de l`ensemble des ensembles exige que (1) un endomorphisme ou un mappage d`auto-similarité D:S–> rÎS soit défini pour l`ensemble de toutes les séries S et de ses points internes r; (2) il existe deux sens complémentaires de l`inclusion, un topologique [S ét D (S)] et un prédicatif [D (S) éd S], qui permettent à l`ensemble de «s`inclure» de manière descriptive de l`intérieur, c`est-à-dire d`un état d`auto-inclusion topologique (où ét dénote topologique ou inclusion théorique et éd. désigne l`inclusion descriptive, par exemple l`inclusion dans une langue de ses référents); et (3) l`entrée S de D être globale et structurelle, tandis que la sortie D (S) = (r éd S) être interne à S et jouer un rôle syntaxique. En bref, les modes de réalisation théoriques et cosmologiques du paradoxe de l`auto-inclusion sont résolus en rapportant correctement l`objet auto-inclusif à la syntaxe descriptive en termes de laquelle il est nécessairement exprimé, ce qui permet d`effectuer un véritable confinement: ” l`univers (ensemble de tous les ensembles) est celui qui contient topologiquement celui qui contient descriptivement l`univers (ensemble de tous les ensembles).

” Je crois en la théorie de l`évolution, mais je crois aussi bien dans la vérité allégorique de la théorie de la création. En d`autres termes, je crois que l`évolution, y compris le principe de la sélection naturelle, est l`un des outils utilisés par Dieu pour créer l`humanité. L`humanité est alors un participant à la création de l`univers lui-même, de sorte que nous avons une boucle fermée. Je crois qu`il y a un niveau sur lequel la science et la métaphore religieuse sont mutuellement compatibles. C`est de la pure confusion. Il est difficile de comprendre ce qu`il pense même qu`il fait.